Notes: Devant de vent j’irai. Des mondes déserts, des tragédies oubliées, des amours intuitifs. L’exil romantique vers ailleurs dans le monde. L’amie ne s’opposerait pas à mon souhait: boire le thé avec elle. Quatre chansons au mécanisme sensible liées à jamais, pour demeurer seul avec l’imprudence de dire. Une larme coulait sur sa joue. L’océan n’a de fond que son nom, parfois des paroles, ce désastre abyssal. L’horizon n’a de fin que dans les faisceaux lumineux, le rêve d’alors infini. Le cyborg né d’un feedback prosaïque meurt dans une entropie de la fascination d’aimer l’autre, son île. Le château Dumbarton brûle sous les lasers des yeux fausse-myrtilles. Une archiviste en sort et sa robe se brise comme de la porcelaine. La chorale d’une voix une par une par une par une jusqu’à une nostalgie mutante. Le ciel métaphysique est si proche de nous, à la hauteur des cailloux prisés d’une chouette suicidaire. La blancheur phosphorescente d’une chanteuse apaisera un futur inévitable : le lyrisme du lendemain. La navette spatiale depuis peu oubliée, je continuerai, fou de liberté, une ascension loin des mains qui exercent, vers un vide sans obstacle, m’affranchir de tout. Une larme coulait sur ma joue.
CD in standard jewel case with bits of seashells in the spine.